Un premier album avec une pochette de toute beauté qui a mis dans les trois ans à sortir, qu'à la fin plus personne ne l'attendait. C'est bien dommage. Leur son tout droit sorti de la factory de Manchester me parait particulièrement réussi. Le disque lui-même n'est pas facile à choper, mais il vaut le coup. Le groupe vivrait toujours, on attend la suite.
Mere Women (Sydney, Oz)
Le son de Mere Women me fait penser à celui de groupes d'Olympia comme Broken Water. C'est en plus un groupe à 75% féminin, largement au-dessus des quotas politiquement corrects. Un peu inégal, il y a néanmoins d'excellents morceaux sur ce second album qui glisse tout seul, sans accroc.
Nerve Quakes (Perth, Oz)
Cet album sera assurément dans mes préférés de 2017. Influences à cheval entre post-punk et goth rock, je valide le style. Ensuite, tout est affaire de goût. Disque paru en quantité limitée sur des chouettes labels DIY, faudra pas mollir pour le toper, à moins qu'un Deranged ne vienne l'éditer en plus large pressage pour les USA. Favori !
Nite Fields (Brisbane, Oz)
Back to electronic territories. Ça fait un bail que j'ai envie de parler de Nite Fields et de ce disque, voici le bon moment. Presque ambiant, il possède une cinématique puissante qui en fait un excellent compagnon de route pour qui jouit d'une bonne sono embarquée. Pour la petite histoire, un des membres de Nite Fields, Chris Campion, participe à un autre projet nommé Multiple Man, également gouleyant.
Nun (Melbourne, Oz)
Sans doute un des meilleurs disques de 2014, les hits y pullulent et ne te laissent aucune chance. Je suis donc hachement content de t'en parler. Ça me démangeait. Ce premier album n'est pas tout récent, mais un autre arrive et on aura même un pressage européen, donc pas trop cher, via Avant! en Italie. Il faudra ensuite que je me prépare à user mes tatanes sur le tapis du salon. La danse cosmique, c'est pas cool pour les fringues.
A suivre. (Ph)
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