Alors que vient juste de paraître le nouvel album du sieur Ramiro Jeancarlo, Les Amants, et qu'il me tarde de l'écouter, petit flashback sur son premier opus qui date déjà de 2011.
De l'excellente darkwave de Miami, pas très éloignée du son de Martial Canterel mais avec les accents plus industriels, plus durs de Contrepoison. ce Sin Destino passe d'un trait comme un très bon alcool, un peu costaud, mais délicieux. Ses sons synthétiques marchent parfois dans les pas d'un Kraftwerk qui aurait passé le cap des années 2000. C'est riche, surprenant, inusable.
Le disque se trouve encore assez facilement à un prix raisonnable. Un futur classique del futuro à mon avis, un des meilleurs parmi tous les projets du gazier. Favori. (Ph)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire