Disque à la cinématique extrêmement puissante, varié comme la bande originale d'un Kubrick, The Pleasures Received In Pain constitue une porte d'entrée parfaite à l'univers de Albin Julius. Entre folk et rock psychédélique, on navigue et on respire, de transes martiales en nappes étranges.
Paru en 1999, ce joyau neofolk se déroule en treize actes, sans titre. Pas de déchet, le disque est quasiment parfait. Je pourrais le jouer non stop plusieurs heures.
Ma sélection personnelle chez Der Blutharsch inclus aussi l'album éponyme de 1996, The Track Of The Hunted (2000) et Time Is Thee Enemy! (2003). Coup d'oreille obligatoire si tu vénères Laibach, Einstürzende Neubauten ou Neurosis. (Ph)
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