samedi 5 mai 2018

Depeche Mode ‎– Violator

Phares puissants de la new wave, les disques de Depeche Mode se sont enchaînés de 1981 à 1990 jusqu'au paroxysme Violator. Sur chacun des disques précédents, il y a des temps un peu plus faibles, où leur côté poppy tutoie la variété. Extrême limite. J'entends encore les critiques, rengaines, car au delà de la pop il y a bien sûr des moments magiques, plus ou moins dansants. Les bougres excellaient dans la ballade atomique : Just Can't Get Enough, Leave In Silence, Everything Counts, Blasphemous Rumours, World Full Of Nothing, Never Let Me Down Again...


Le 7ème album de DM était très attendu lors de sa sortie. Comme ses prédécesseurs, je l'ai creusé direct, mais comme on l'entendait partout, j'ai vite saturé. Je suis revenu dessus dix ans plus tard pour réaliser que la bête ne vieillissait pas. Par un étrange miracle, elle était même devenue mon album de DM préféré, ce qui n'est pas une mince affaire.

C'est un crève-cœur de choisir deux titres parmi ceux-ci : World In My Eyes, Sweetest Perfection, Personal Jesus, Halo, Waiting For The Night, Enjoy The Silence, Policy Of Truth, Blue Dress, Clean.


J'ai mis de côté les grands tubes radio Personal Jesus et Enjoy The Silence, que tu connais trop bien, pour mettre l'accent sur deux bijoux moins voyants.


La suite des aventures de Depeche Mode m'a beaucoup moins intéressé. Je n'adhère pas. Les frissons des sept premiers albums me suffisent.(Ph)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire